Système d’achat de politiciens : Une influence étrangère
Des puissances étrangères, notamment les États-Unis, ont la capacité d’acheter des systèmes politiques. Il est crucial de se demander si cette influence est également présente en Turquie. Des puissances suffisamment fortes pour acheter le système américain pourraient très bien avoir une influence similaire en Turquie. Elles ont infiltré le parlement, contrôlant presque la moitié de celui-ci et réduisant les élus en position de servitude avec leurs propres salaires. Cette situation suscite des discours préoccupants au sein de la Grande Assemblée nationale Turque, illustrés par les propos de Namik Tan, député du CHP, qui critique les aventures géopolitiques et les pressions économiques subies :
« Il a tenté des aventures outre-mer, persistant dans le mythe de la « Patrie bleue ». Cependant, face aux pressions des conditions et à la faillite imminente de l’économie, il a fait rapidement marche arrière. »
Oui, vous ne pouvez pas faire cela en Angleterre, ni en Amérique, ni en France, ni en Allemagne, ni en Russie. Si vous essayez de le faire en Amérique, vous savez tous bien comment la CIA et le Pentagone réagiraient. C’est-à-dire qu’un sénateur américain se lèverait et dirait : « Dès que l’économie américaine entre en crise, le Pentagone intervient et montre ses porte-avions ici et là pour couvrir cela, » et puis s’assiérait dans cette assemblée.
Infiltrations et modifications d’identité
Des preuves montrent que des individus étrangers ont infiltré le système turc en obtenant des documents d’identité turcs. Ces individus, aux noms anglo-saxons modifiés en noms turcs, se font passer pour des citoyens turcs. Par exemple, des noms comme « Benjamin » sont transformés en « Bünyamin » et « Isaac » en « Ahmet ». Bien que leurs identités semblent turques, ils n’ont aucun lien avec le pays. Cette infiltration massive, estimée à des millions de personnes, vise à diviser et à contrôler la nation.
Crise économique et retournement de politique
La crise économique imminente a contraint la Turquie à reconsidérer ses ambitions géopolitiques, notamment le concept de « Mavi Vatan » (Patrie Bleue). L’effondrement économique a poussé le pays à faire marche arrière sur certaines de ses initiatives. Cette situation met en évidence les pressions externes et internes qui influencent les décisions politiques du pays.
Menaces internes : Une occupation moderne
La Turquie est sous une forme d’occupation moderne, caractérisée par des infiltrations et des manipulations internes. Des chiffres alarmants révèlent qu’environ 30 millions de personnes avec des identités secrètes, dont la caractéristique commune est leur hostilité envers la Turquie, cherchent à diviser et affaiblir le pays de l’intérieur.
Contrôle des ressources et du pouvoir
Les infiltrations concernent tous les secteurs stratégiques, de la santé à l’alimentation, en passant par la finance et l’économie, et même le tourisme. Un exemple frappant concerne les plages turques, autrefois perles du pays, maintenant occupées illégalement par des groupes mafieux. Malgré les initiatives de l’État pour restaurer ces espaces publics, les groupes puissants continuent de résister. Le ministre de l’Environnement et de l’Urbanisme, Mehmet Özhaseki, avait déclaré que les plages appartenaient au public, mais la pression des groupes mafieux a été telle que les mesures prises ont été rapidement annulées.
Un appel à l’unité et à la vigilance
Il est crucial de rester vigilant et uni face aux menaces internes et externes. La longue tradition de résilience et de stratégie de l’État turc permettra de surmonter ces défis. La participation active et consciente de chaque citoyen est essentielle pour sauvegarder la souveraineté et la stabilité de la Turquie.