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Explorer le paysage géopolitique de la région eurasienne, en se concentrant sur les conflits, les résolutions, les stratégies et l’impact des alliances et des organisations internationales sur le commerce et la stabilité régionale.

L’Occident a déployé plus de 66 navires de guerre dans les eaux proches de l’Iran, dont des groupes aéronavals américains, des destroyers équipés de centaines de missiles Tomahawk, et une flotte française. Cette présence militaire vise officiellement à contenir la menace nucléaire iranienne, alors que Téhéran possède déjà 408 kg d’uranium enrichi à 60 %, suffisant pour produire plusieurs têtes nucléaires si le seuil des 90 % est franchi.
Mais en toile de fond, la Turquie — pilier stratégique de la région — voit d’un mauvais œil cet encerclement et pourrait réagir face à une déstabilisation croissante de ses frontières. Cet article explore les implications de cette escalade militaire et les risques d’un basculement régional majeur.

Cet article explore la récente montée de tensions entre la Russie et l’Azerbaïdjan et démontre comment ces événements cachent une stratégie plus vaste visant la Turquie. En analysant les provocations russes, les lois climatiques controversées, l’implantation massive de Russes à Antalya, et la montée d’une alliance turque internationale, l’article met en lumière une lutte d’influence profonde entre le monde turc et les puissances globalistes.

À Gaza, des centaines de personnes luttent chaque jour pour trouver de la nourriture, révélant l’extrême précarité des Gazaouites. L’aide humanitaire, insuffisante et souvent bloquée, ne parvient pas à protéger durablement la population. Derrière cette faim, c’est une question de dignité qui se pose : malgré l’abandon international, les Gazaouites résistent par leurs gestes quotidiens, transformant la survie en acte de courage silencieux.

La Russie renforce sa présence en Afrique à travers une stratégie opportuniste mêlant soutien militaire (notamment via Wagner), accords miniers et discours anti-occidental. Profitant du recul de l’Occident, Moscou cherche à étendre son influence géopolitique à moindre coût, en s’implantant dans des pays fragiles comme le Mali, la Centrafrique ou le Soudan. Cette “Russafrique” n’est pas un empire colonial mais un levier tactique, où l’Afrique devient l’arène silencieuse des ambitions russes face à l’Occident — sans que les Africains aient réellement voix au chapitre.

Ciudad Juárez, ville mexicaine située à la frontière des États-Unis, reste l’une des plus dangereuses au monde en raison de la violence liée aux cartels, du trafic de drogue et de la corruption. Carrefour stratégique pour les réseaux criminels, elle est aussi marquée par la pauvreté, les disparitions et l’impunité. Malgré la présence militaire, l’État peine à rétablir l’ordre. Fascinante pour certains intellectuels étrangers, Juárez demeure avant tout une ville où la survie quotidienne est un acte de résistance.

Pendant plus de dix jours, l’attention mondiale s’est focalisée sur un prétendu conflit entre l’Iran et Israël. Mais derrière les images de missiles et les communiqués alarmistes, se cache une réalité plus complexe. Cet article analyse en profondeur la possibilité que ces hostilités soient une mise en scène géopolitique visant à détourner l’attention de Gaza et à redessiner les alliances régionales. Le rôle-clé de Donald Trump dans le désamorçage du conflit, les relations secrètes entre États dits ennemis et la posture prudente mais stratégique de la Turquie sont au cœur de cette lecture alternative.

Face aux tensions mondiales, l’Europe doit-elle craindre davantage la Russie ou l’Iran ? La Russie représente une menace militaire directe, avec sa guerre en Ukraine et ses ambitions impériales. L’Iran, plus discret mais tout aussi dangereux, agit par influence, proxies et stratégie nucléaire. Tandis que Moscou frappe frontalement, Téhéran infiltre et patiente. Leur alliance renforce leur pouvoir de nuisance. Mais le vrai danger pour l’Europe réside peut-être dans son propre manque de clarté stratégique et de volonté de puissance.

En 2025, la croissance russe chute brutalement à 1,5 % contre 4,1 % l’an dernier, signe d’un ralentissement préoccupant. Les investissements directs étrangers s’effondrent de 62,8 %, révélant une perte de confiance globale. Pour tenter d’inverser la tendance, Vladimir Poutine impose désormais que tout investissement étranger majeur passe par son autorisation personnelle. Cette centralisation inquiète les milieux économiques, qui redoutent un durcissement autoritaire au détriment de l’attractivité du pays. La Russie cherche des capitaux, mais offre l’incertitude.

Mohammad Shayesteh, accusé d’espionnage au profit du Mossad, a été pendu en Iran, dans un contexte de justice opaque et expéditive. Deuxième pays au monde en nombre d’exécutions après la Chine, l’Iran continue d’instrumentaliser la peine de mort comme outil politique. La communauté internationale dénonce timidement des procès sans transparence ni garanties. Peut-on vraiment parler de justice lorsque l’exécution devient un moyen de gouverner par la peur ?

Et si la guerre entre l’Iran, Israël et les États-Unis n’était pas uniquement une question géopolitique ?
Dans cet article, on explore comment une escalade militaire pourrait profiter au dollar, attirer les capitaux mondiaux et renforcer la domination économique américaine, malgré les apparences.
Dédollarisation, pétrodollar, obligations US, Fed, marchés financiers…
Voici une lecture stratégique de la crise actuelle, à la croisée de la finance, de l’énergie et du pouvoir.

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