S'abonner gratuitement à notre newsletter !
Recevez les dernières nouvelles et analyses d'Eurasia Focus sur l'actualité, la politique, l'économie et la culture en Eurasie.
Browsing: Société
Explorer la dynamique sociale de l’Eurasie, y compris les principales questions sociales, l’éducation, les soins de santé, les migrations, la démographie et la qualité de vie globale dans la région.
Emma deviendra-t-elle douce ? Et Kylian, audacieux ? Le prénom forge-t-il le caractère ?
Le prénom donné à la naissance n’écrit pas le destin d’un enfant, mais il influence sa trajectoire. Il façonne la perception des autres – enseignants, recruteurs, entourage – et peut ainsi orienter le caractère et les opportunités. C’est un marqueur social, culturel, affectif. L’enfant peut s’y conformer, s’en affranchir ou le réinventer. Un prénom ne forge pas l’identité, mais il en murmure les premiers contours.
Enfants en roue libre : 5 activités chic et simples pour survivre à l’ennui estival
Si vos enfants s’ennuient à la maison cet été, inutile de céder aux écrans ou à la panique. Voici cinq activités à la fois ludiques, culturelles et simples : monter une pièce de théâtre, créer un herbier, fabriquer un journal illustré, organiser un mini-festival de cinéma maison, ou cuisiner des goûters à thème. L’objectif ? Stimuler leur imagination, développer leur curiosité et redonner du sens à l’ennui – en toute élégance.
Rire : dernière médecine douce dans un monde qui grince
Rire est bon pour la santé, à la fois sur le plan physique (réduction du stress, stimulation du système immunitaire) et psychologique (meilleure résilience, lien social renforcé). Plus qu’un simple réflexe, le rire est une forme de résistance douce dans un monde anxieux. Il ne soigne pas tout, mais il soulage ce que la médecine ne prescrit pas : solitude, lourdeur, fatigue existentielle. Une véritable hygiène mentale à cultiver.
Crimes, émotions et fantasmes
L’extrême droite instrumentalise les meurtres de femmes et d’enfants en accusant systématiquement les migrants, même quand les faits ne le justifient pas. Elle transforme des tragédies individuelles en arguments politiques, détournant la douleur à des fins idéologiques. Derrière une apparente compassion, elle utilise les victimes comme symboles pour nourrir un discours identitaire et xénophobe. Pourtant, la majorité des violences faites aux femmes sont commises par des hommes français. Ce récit sélectif, fondé sur la peur et l’amalgame, masque les causes réelles des violences et attise la haine.
Quand les hommes déçoivent, les femmes lisent
Face à des hommes réels souvent jugés immatures, absents ou confus, de nombreuses femmes trouvent refuge dans la littérature amoureuse. Les héros de roman — sensibles, profonds, capables d’aimer — incarnent un idéal relationnel que le quotidien peine à offrir. Ce n’est pas une fuite, mais une forme de résistance douce : les femmes ne rêvent pas de perfection, juste de liens plus sincères, plus attentifs — comme dans les livres.
Antisémitisme : comment le travail de mémoire se réinvente pour conjurer l’oubli
Face à la résurgence de l’antisémitisme, le travail de mémoire se réinvente : musées, mémoriaux et lieux comme Auschwitz intègrent des outils immersifs et numériques pour toucher les nouvelles générations. Entre réalité virtuelle, témoignages interactifs et récits sensibles, il ne s’agit plus seulement de commémorer, mais de transmettre avec justesse et émotion. La mémoire, pour rester vivante, doit être à la fois pédagogique, incarnée et vigilante — un rempart essentiel contre l’oubli et la haine.
L’école, un monde plus dur pour les garçons ou pour les filles ?
À première vue, l’école semble favoriser les filles, plus disciplinées et performantes. Mais cette réussite cache une pression à la conformité et à l’effacement. Les garçons, eux, décrochent davantage, sanctionnés pour leur agitation, dans un système peu adapté à leur énergie. L’école n’est donc ni neutre ni égalitaire : elle impose des normes genrées, récompensant la docilité chez les filles et punissant la turbulence chez les garçons. La vraie urgence ? Repenser une école qui valorise toutes les formes d’intelligence, sans enfermer chacun dans des rôles d’hier.
Le Rosey, pension dorée de l’élite mondiale : l’internat suisse où grandissent les héritiers du pouvoir
Le Rosey, internat suisse ultra-select niché entre Rolle et Gstaad, accueille depuis plus d’un siècle les enfants de stars, de rois et de milliardaires. Facturée près de 140 000 francs suisses par an, cette école bilingue forme une élite internationale dans un luxe feutré. Plus qu’un lieu d’enseignement, Le Rosey incarne un art de vivre et de se former au pouvoir, entre excellence académique, sports de prestige et entre-soi soigneusement préservé.
Parler d’argent en couple : briser le tabou avec élégance et lucidité.
Parler d’argent en couple reste un tabou tenace, pourtant essentiel à la solidité d’une relation. Qui paie quoi ? Que partager ? Il ne s’agit pas de faire les comptes, mais d’oser aborder l’argent comme une question émotionnelle et politique. Transparence, écoute et répartition juste permettent de créer un foyer fondé sur la confiance. Briser ce silence, c’est renforcer le lien — avec élégance et lucidité.
Manger et boire en été : l’élégance de la légèreté.
En été, le corps réclame légèreté et hydratation. Il est conseillé de boire beaucoup d’eau pure et de privilégier des plats frais et simples, comme les salades riches en légumes, herbes et huiles douces. Éviter les aliments lourds, gras ou trop sucrés permet de préserver énergie et digestion. Bien manger sous le soleil, c’est adopter une élégance sobre, en accord avec les rythmes de la saison.