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Home » Ouïghours : un génocide silencieux orchestré par Pékin
Actualités

Ouïghours : un génocide silencieux orchestré par Pékin

Chronique documentée des crimes d’État contre les Ouïghours du Turkestan oriental
Fetih AkBy Fetih Ak4 May 2025Updated:4 May 2025No Comments12 Mins Read17,662 Views
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Répression des Ouïghours en Chine.
Répression des Ouïghours en Chine.
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1. 1949‑1989 : l’annexion et la mise au pas

En 1949, au lendemain de la prise du pouvoir par le Parti communiste chinois, l’armée populaire de libération pénètre dans la République du Turkestan oriental, région majoritairement peuplée de Turcs-Ouïghours. Ce territoire, qui avait brièvement proclamé son indépendance, est annexé sans ménagement. La Chine, sous le joug de Mao Zedong, y impose sa souveraineté. Le nom même de la région est effacé au profit d’un label administratif : la « Région autonome ouïghoure du Xinjiang ». Un nom qui sonne comme une ironie cruelle.

À partir des années 1950, Pékin implante des garnisons militaires appelées « bingtuan », c’est-à-dire des colonies agricoles militarisées composées principalement de soldats Han. Leur rôle : assurer le contrôle du territoire, organiser la surveillance de la population, et « siniser » par le bas cette région frontalière. La population locale est marginalisée économiquement, culturellement, et politiquement.

Durant les années 1960 à 1970, la Révolution culturelle vient parachever cette domination. Mosquées, tombeaux soufis, manuscrits coraniques : tout est détruit au nom d’une purge idéologique visant à éradiquer les « superstitions féodales ». Des milliers de religieux ouïghours sont emprisonnés, torturés, ou exécutés. Le peuple ouïghour devient alors suspect par essence : sa religion, sa langue, sa culture, tout en lui est perçu comme une menace potentielle contre l’ordre social communiste et centralisé.

2. 1990‑2013 : Prémices de la « guerre au terrorisme » chinoise

Les années 1990 marquent un tournant. À Baren, en 1990, un soulèvement éclate dans un climat de colère contre les avortements forcés et les violences policières. Pékin répond avec une brutalité extrême. Les chiffres officiels sont flous, mais les sources indépendantes évoquent jusqu’à 3 000 morts. Le silence médiatique est imposé à l’intérieur du pays, mais des fuites témoignent d’une répression méthodique et sanglante.

En 1997, à Ghulja, des jeunes Ouïghours manifestent pacifiquement pour le droit à la liberté religieuse et culturelle. L’armée ouvre le feu. Des centaines sont tués ou portés disparus. Les prisons se remplissent à une vitesse effarante. Des milliers de personnes sont arrêtées pour avoir simplement assisté à une prière ou possédé un Coran.

Puis, en 2009, Ürümqi, capitale régionale, devient le théâtre d’émeutes interethniques. Des violences éclatent entre les Hans, ethnie majoritaire en Chine, et les Ouïghours. Pékin envoie des renforts militaires. Des tirs à balles réelles visent les civils. Les arrestations sont massives. Internet est coupé pour toute la région pendant dix mois, plongeant les habitants dans l’isolement absolu. La censure devient étouffante, la peur omniprésente. Le moindre message suspect, la moindre vidéo, peuvent vous condamner à la prison à vie.

3. 2014‑2016 : Xi Jinping décrète la « lutte totale contre l’extrémisme »

Avec l’arrivée de Xi Jinping au sommet de l’État, le régime change de ton. Ce n’est plus seulement une politique de surveillance ou de marginalisation. C’est une guerre idéologique totale. Dans des discours internes confidentiels, révélés plus tard par le « China Cables », le président chinois ordonne d’« exterminer le virus de l’extrémisme religieux » avant qu’il ne contamine toute la société.

Tout signe d’identité ouïghoure devient suspect. Porter la barbe, porter le hijab, refuser l’alcool, nommer son enfant Mohammed ou Fatima : chaque geste devient une preuve de radicalisation potentielle. Des applications mobiles sont utilisées pour ficher, géolocaliser, écouter et traquer les habitants. Les maisons sont équipées de caméras. Des agents Han s’installent parfois chez les familles ouïghoures pour « observer leur loyauté ».

Dans ce climat de paranoïa institutionnalisée, la terreur ne s’infiltre pas par les armes, mais par les algorithmes. Les habitants vivent dans une société panoptique, où penser, parler ou prier peut suffire à disparaître.

4. 2017‑2020 : L’ère des camps de concentration dits de « rééducation »

Entre 2017 et 2020, le monde découvre avec stupeur, mais peu de réactions concrètes, l’existence d’un réseau tentaculaire de camps de concentration au Xinjiang. Jusqu’à 1,8 million d’Ouïghours, de Kazakhs et d’autres minorités turciques y sont internés sans procès, sans accusation formelle. Les « Xinjiang Police Files », fuites massives de données policières, révèlent l’ampleur de la machine d’oppression.

Les témoignages sont accablants : cellules surpeuplées, torture systématique, électrocutions, la « chaise du tigre » pour maintenir les prisonniers en position douloureuse durant des heures. L’ordre est donné de tirer sur toute personne tentant de fuir. Certains détenus sont enchaînés durant leurs « leçons de patriotisme », obligés de chanter des hymnes à la gloire du Parti et de renier leur religion.

Pendant ce temps, leurs enfants sont envoyés de force dans des pensionnats militarisés. Là, ils sont coupés de leur langue maternelle, de leur culture, de leurs familles. Les liens familiaux sont méthodiquement brisés. Le contact avec l’étranger, même un simple appel à un parent vivant en Turquie ou au Kazakhstan, est criminalisé.

5. 2017‑2024 : Stérilisations massives et effondrement démographique

La brutalité du régime ne s’arrête pas aux murs des camps. Entre 2017 et 2019, le taux de natalité dans les régions ouïghoures chute de près de 49 %. Selon les données officielles, 80 % des nouvelles poses de dispositifs intra-utérins (stérilets) enregistrées dans toute la Chine se concentrent au Xinjiang.

Les femmes sont arrêtées pour avoir eu trop d’enfants, puis stérilisées de force. Certaines subissent des avortements tardifs, douloureux, parfois à huit mois de grossesse. Des injections chimiques les rendent stériles à vie. Le tout, au nom d’un « équilibre démographique » national qui ne vise qu’à effacer peu à peu la présence ouïghoure.

Selon une modélisation réalisée par Reuters, si cette politique se poursuit, ce sont entre 2,6 à 4,5 millions de naissances qui seront évitées d’ici 2040. Cela représente l’équivalent d’un tiers de la population ouïghoure actuelle. Une éradication lente, silencieuse, et quasi invisible à l’œil des grandes puissances.

6. Travail forcé et pillage économique

En parallèle, des centaines de milliers d’anciens détenus sont déplacés de force vers des zones industrielles. Ils travaillent dans des usines de coton, d’aluminium, ou de panneaux solaires, dans des conditions de quasi-esclavage. Le ministère américain du Travail qualifie cette politique d’« institutionnalisation du travail forcé ».

Des marques internationales sont éclaboussées : H&M, Nike, Adidas, Uniqlo, Shein. Malgré les lois comme l’Uyghur Forced Labor Prevention Act, les tests ADN menés en 2024 révèlent que du coton provenant du Xinjiang continue d’alimenter les chaînes de production mondiales. Derrière chaque t-shirt bon marché se cache peut-être le travail d’un homme humilié, battu et réduit à l’état de machine à produire.

7. Séparation des familles et étouffement culturel

La répression vise aussi les élites. Les imams, les professeurs d’université, les écrivains sont ciblés en premier. Rahile Dawut, célèbre anthropologue spécialiste de la culture ouïghoure, est condamnée à la prison à perpétuité. Son crime ? Avoir documenté les rituels, les récits populaires et les traditions de son peuple.

Des milliers d’intellectuels disparaissent, leurs livres interdits, leurs travaux effacés des archives. Dans les mosquées encore debout, Pékin impose des cadres Han à la direction des prières. Le mandarin devient langue obligatoire dans les sermons. Même les noms de rues sont changés, les inscriptions arabes effacées, les cimetières détruits.

Ce n’est pas seulement un peuple qu’on tente d’éteindre. C’est une mémoire collective qu’on raye de la carte.

8. 2022‑2025 : la communauté internationale freinée

En août 2022, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (UN-OHCHR) publie un rapport sans appel : les actes commis au Xinjiang peuvent constituer des crimes contre l’humanité. Pourtant, aucune sanction globale ne suit. Aucune condamnation unanime. Le monde détourne les yeux.

La Chine, quant à elle, déploie sa machine diplomatique. Elle infiltre des ONG-paravents, harcèle les témoins ouïghours venus témoigner à Genève. Les menaces sont constantes, les familles restées au pays sont prises en otage. L’Occident tergiverse, freiné par ses intérêts économiques.

9. Sommes-nous au bord de l’extinction ?

Selon le dernier World Report 2024 de Human Rights Watch, la campagne d’assimilation forcée menée par Pékin se poursuit « sans relâche ». Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Si le taux de natalité continue à chuter, si les enfants sont éduqués à renier leurs racines, si les prisons remplacent les écoles coraniques, alors les Ouïghours, peuple millénaire, seront rayés non pas par le feu, mais par l’oubli.

La Chine aura réussi l’un des pires crimes du XXIe siècle sans que personne n’ose l’arrêter.


10. Une mécanique de la terreur : tortures, viols, lobotomie mentale et pillage des corps

Le régime chinois ne s’est pas contenté de réprimer : il a méthodiquement déshumanisé les Ouïghours. Tout est permis, pourvu que cela brise leur dignité.

Viol systématique comme outil de domination.


D’anciens détenus – notamment des femmes comme Tursunay Ziawudun – ont révélé des scènes abjectes de viols collectifs, d’électrocutions génitales, de déshabillage forcé, orchestrées par des gardiens chinois dans les camps de “rééducation”. Les témoignages sont nombreux, cohérents et glaçants : des femmes emmenées la nuit, violées devant les autres, ou soumises à des instruments de torture introduits dans leur intimité.
The Guardian, BBC, France24 ont recueilli ces récits, que Pékin nie en bloc, mais que les traces de blessures, d’exil et les pleurs de leurs survivantes confirment.

Séquestration et lavage du cerveau.


Internés sans motif, souvent pour avoir porté une barbe, une jupe longue ou envoyé un message à l’étranger, les Ouïghours sont plongés dans une atmosphère de lavage mental :

« Ce n’est pas une école, c’est une prison. Et chaque jour, ils vous lavent le cerveau jusqu’à ce que vous disiez que vous aimez le Parti communiste. Sinon, ils vous battent. »

Obligés de chanter les louanges de Xi Jinping, de renier leur foi, de manger du porc, de renier leur langue. Leur résistance est écrasée par des séances de privation de sommeil, d’isolement dans des cellules sans lumière, ou d’humiliations publiques.

Travail forcé et esclavage économique.


Des centaines de milliers de Ouïghours, arrachés aux camps, sont transférés vers des “zones industrielles” : ils y fabriquent coton, textiles, panneaux solaires, ou extraient des métaux rares, sans repos, sans salaires, parfois enchaînés. Des images satellites ont prouvé l’existence de dizaines de ces usines collées aux camps.
Malgré les dénégations chinoises, des entreprises internationales (Nike, Adidas, H&M, Shein…) ont été épinglées pour avoir utilisé ces “chaînes d’approvisionnement souillées par l’esclavage”.

Pillage d’organes.


Plus effroyable encore : selon les enquêtes du China Tribunal et des ONG comme ETAC, de nombreux Ouïghours en bonne santé ont disparu après leur “examen médical”. En réalité, ils sont ciblés pour leurs organes, vendus à des patients chinois ou étrangers fortunés.
Des hôpitaux militaires, comme ceux de Ürümqi ou Kashgar, sont soupçonnés de participer à ce trafic. Temps d’attente record pour un foie ou un rein : 2 semaines, contre 2 ans ailleurs. Des témoignages parlent de prélèvements “à cœur battant”, c’est-à-dire d’exécutions programmées pour garantir la qualité des organes.

Un génocide moderne, algorithmique, industriel.


Ajoutez à cela la vidéosurveillance à reconnaissance faciale, les analyses ADN de masse, les micros dans les maisons, et vous obtenez un panoptique numérique sans précédent. Les Ouïghours vivent dans une prison à ciel ouvert, où le moindre soupçon mène à la disparition.


Le silence tue.

Le régime chinois n’est pas simplement coupable de répression : il orchestre l’effacement complet d’un peuple, dans sa langue, sa culture, sa mémoire, son corps même. Le génocide des Ouïghours ne se fait pas avec des chars, mais avec des fichiers Excel, des quotas de stérilisations, des micro-caméras, et des aiguilles chirurgicales.

Tant que le monde détournera les yeux pour ne pas froisser Pékin, l’histoire retiendra que nous avons su et que nous avons laissé faire.

Conclusion

Ce que subissent les Ouïghours n’est pas une bavure administrative, ni une exagération idéologique. C’est un système froid, calculé, perfectionné pour détruire une identité. Chaque mosquée rasée, chaque stérilisation, chaque enfant arraché à ses parents est une plaie ouverte dans la conscience du monde.

Et si rien ne change, demain, il ne restera des Ouïghours que des cendres dans des archives censurées. Il est temps de briser le silence. Il est temps d’agir.

Pour approfondir : ouvrage clé sur l’histoire et l’avenir des peuples turcs

Pour celles et ceux qui souhaitent aller plus loin dans la compréhension du monde turc, de ses origines jusqu’à sa renaissance actuelle, je recommande la lecture de l’ouvrage :
“L’origine et la renaissance des peuples turcs ”
par Fatih AK, publié chez Eurasia Focus
📘 Lien vers le livre

Ce livre est bien plus qu’un simple ouvrage historique. C’est une fresque vivante retraçant le parcours des peuples turcs à travers les siècles, des steppes d’Asie centrale aux grandes capitales impériales. L’auteur y explore avec clarté et rigueur l’importance stratégique, culturelle et spirituelle des Turcs dans l’histoire mondiale.

Ce qui distingue cet ouvrage, c’est sa capacité à relier le passé au présent : il met en lumière l’idéal turcique qui anime encore aujourd’hui des projets comme celui porté par Recep Tayyip Erdoğan. L’auteur rappelle à juste titre que l’histoire mondiale ne peut être lue sans comprendre le rôle moteur joué par les peuples turcs, tant dans les conquêtes que dans les échanges civilisationnels.

À travers le rêve du Turan, une union renforcée des nations turcophones, ce livre résonne fortement avec les ambitions contemporaines de la Turquie. Il offre un éclairage précieux pour qui veut saisir les fondements historiques et géopolitiques du leadership d’Erdoğan dans le monde turc. Accessible, érudit et passionné, c’est un livre de référence.

Sources utilisées dans cet article

  • Coda Story
  • Human Rights Watch
  • Radio Free Asia
  • Wikipedia (sections: Baren 1990, Ghulja 1997, Ürümqi 2009, Répression Xinjiang)
  • The Guardian
  • ResearchGate (Rapports Adrian Zenz)
  • Reuters
  • DOL – U.S. Department of Labor
  • Supply Chain Dive
  • Financial Times
  • ChinaFile
  • UN-OHCHR (United Nations High Commissioner for Human Rights, 2022 report)
  • The Washington Post
  • Axios
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Professeur passionné par l’Eurasie, l’histoire turcique et la finance/ Passionate scholar of Eurasia, Turkic history, and finance.

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